Olive78 est inquiet, pendant que LE CH'TI m'indique ou j'ai vu/lu l'info d'un cap'tain
. Le sujet est fort complexe et la théorie prend très souvent en défaut tous les modes de serrages qu'ils soient: dynamométrique, angulaire, thermique, avec rondelle jauge de contrainte ... Les erreurs sont telles que l'effort avec la tête de serrage, soit ne permet pas d'être dans zone élastique du métal(loi de Hooke), soit la dépasse et dans ces 2 cas ..c'est pas bon. Les états de surface des vis (au moins 3 classes d'usinage), des rondelles..., du lubrifiant utilisé (ne jamais remplir un taraudage!) et j'en oublie, sont autant de paramètres très difficile à maitriser, déjà par les calculs, puis lors de l'opération elle-même
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Le plus simple: appliquer le couple de serrage mentionné par le constructeur, sinon consulter les tables (Fac*m par exemple). Si l'assemblage doit être démonter fréquemment:lubrifier (au choix sachant que la graisse est un composant d'huile et de savon compound, qui "s'évapore" moins que l'huile). S'il est soumis aux agressions climatiques/et fortes vibrations, un frein filet faible évitera la corrosion interne et le desserrage, mais attention pour le démontage.
Quand je disais pas simple, reste la température de fonctionnement, la flexibilité de queues de vache après l'orage...il y a des sites pour compléter sa culture
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pour travailler dans un BE.